笨小笨Boomerang歌词由Fuzati&Le Motel演唱，出自专辑《Baltimore (Explicit)》，下面是《Boomerang》完整版歌词！
Boomerang歌词完整版
On voyage dans nos têtes nos corps sont prisonniers
Des milliers de barreaux que nos têtes ont créés
Je ne cherche pas la logique juste une fille pour la nuit
Mais je finis tout seul et tout saoul c'est la vie
Tout a l'air mieux ailleurs c'est parce qu'on n'y est pas
Moi je serai mieux ici quand tu iras voir là bas
Si tu ne vois pas l'hameçon peut-être que c'est toi l'appât
Tu as les clés d'une maison mais elle ne t'appartient pas
Des milliards à cramer leurs billets en loyers
Pour de petits foyers que des vies d'employés
Que du vide déployé pour ne pas trop penser
Dieu te guide qu'il soit loué comme un F1 pété
Et faut bien qu'on s'abrite à la fin tout s'habite
Il devait y avoir urgence, elles sont pétées les vitres
On rêve de nids d'amour et de péripéties
On finit dans des tours à la périphérie
Ce n'est pas là d'où l'on part mais c'est là d'où l'on vient
Qui fera le voyage, ce dont on se souvient
Des palais, des remparts, on en verra combien ?
Seul compte le paysage dans lequel on revient
Je remonte le temps mais je ne peux rien changer
Sauf le confort du siège un peu plus incliné
Et les films défilants sur la petite télé
Me doutant que personne ne m'attend à l'arrivée
Comme si je me préparais pour le dernier voyage
Où seuls les pharaons s'encombrent de bagages
Et s'il tombe cet avion sera mon sarcophage
Des zones de turbulences comme de mauvais présages
Je rêve de silence dans la ville, dans ma tête
Cela fait bien longtemps qu'on ne m'invite plus aux fêtes
Plus l'amour qui me transporte juste des rames métalliques
Je suis là pour faire en sorte d'être une âme mécanique
Ça d'après leurs schémas, autant rester chez moi
Trouver de l'exotisme dans restaurants chinois
Si bêtes sont nos sorts, peu habités nos corps
Comme des bâtiments morts dans les rues de Baltimore
Ce n'est pas là d'où l'on part mais c'est là d'où l'on vient
Qui fera le voyage, ce dont on se souvient
Des palais, des remparts, on en verra combien ?
Seul compte le paysage dans lequel on revient
